
Les preuves rassemblées par la FIDH et son organisation membre au Belarus, le centre des droits de l’Homme Viasna, contredisent clairement la déclaration faite lors de la conférence de presse de 14 février 2013 par le Procureur adjoint bélarusse, le Général Alyaksey Stuk selon laquelle les conditions de détention dans les prisons bélarusses et la colonies pénitentiaires des 9 prisonniers actuellement identifiés par nos organisations comme des prisonniers politiques n’étaient pas différentes de celles des autres prisonniers.
Les 9 détenus sont régulièrement victimes de punitions qui exacerbent fortement des conditions de détention déjà difficiles en restreignant leurs moyens de subsistance ainsi que la qualité de leur nourriture et de l’aide médicale...
Lire la suite